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La cite Aujordhui
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c’est bien cette cité qui est la source de notre mémoire qui nous rapproche de notre conscience et nous reconduit à nous-mêmes au moment du réveil.
I A’yech Weldi » (Que Dieu te garde, mon enfant),a la cite Ces paroles sortaient naturellement de la bouche de chaque maman. Elles nous avaient voués à une vie simple, saine et limpide
Elles avaient joué un rôle important et déterminant dans la formation de notre caractère et de notre santé
elles avaient su nous apprendre le respect des pères, des personnes plus âgées et des voisins.
Ce sont encore elles qui avaient adouci nos impulsions juvéniles et nous avaient enseigné la patience par leur exemple. Elles nous disaient souvent
elles ont su nous initier avec beaucoup de soin et de gentillesse au goût et à la valeur de la vie.
Je pensai à mes voisins, à mes cousins et à mes amis qui sont dispersés un peu partout dans le monde, puis, je priai en mon for intérieur pour les parents qui nous avaient quittés. Ensuite je songeai avec amour à tous les Boulefred,
Andasmas sans oublier les Miraouis des alentours qui animaient notre cité.Cette beauté appartient aussi à l’enfance qui fait jaillir de nous-mêmes un flot de bonté, qui fait vibrer nos sens.
Elle nous adoucit et agrémente notre vie tout le long de notre chemin. C’est bien notre terre qui nous unit et nous dévoile à nous-mêmes et à tout le monde,
car de ce point bien élevé je voulais jeter encore un regard sur notre cite..
De là -haut je pouvais voir d’un côté le paysage silencieux avec ses plaines vertes et ses collines ondulées, de l’autre côté notre cite avec ses toits gris goudronne et ses cours crrees.
je cherchais notre maison de la rue Mokademe, mais celle-ci se confondait dans le gris des toits et des rues escarpées et étroites de la cite nouvelle.
Ma première demeure a perdue son identité physique mais sa présence émergeait du fond de mon cœur et de ma mémoire,
comme si les souvenirs voulaient me dire « nous sommes encore là ». Ils émergeaient d’un monde lointain et m’envahissaient.
Ils me trempaient dans un sentiment vivant et agréable qui me traversait comme un doux courant électrique
Cette beauté appartient aussi à l’enfance qui fait jaillir de nous-mêmes un flot de bonté, qui fait vibrer nos sens. Elle nous adoucit et agrémente notre vie tout le long de notre chemin
c’est bien cette cité qui est la source de notre mémoire qui nous rapproche de notre conscience et nous reconduit à nous-mêmes au moment du réveil
Je me sentais en effet comme si je me réveillais d’un profond rêve, qui me remplissait d’une nouvelle énergie d’amour due à tout ce que je venais de vivre et de sentir.
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